<br /> Et mon Bazaine ?<br /> <br /> <br />

<br /> J'ai tout de même une vingtaine d'années de moins que le maréchal en 40.<br /> <br /> Et vos diverses interventions plus stupides les unes que les autres ne valident pas le mot du général. Pour vous nul besoin d'attendre la vieillesse, vous avez déjà coulé.<br /> <br /> <br />

<br /> Une autre citation du général à ce propos :<br /> <br /> “La vieillesse est un naufrage. Pour que rien ne nous fût épargné, la vieillesse du maréchal Pétain allait s’identifier avec le naufrage de la France”<br /> <br /> --> Bein Ouly, ya qu'a vous voir, sacré naufrage que nous subissons...<br /> <br /> <br />

<br /> Pour les tapisseries, je viens de me remémorer deux cas, le diplôme d'herboriste a été supprimé en 1941, la même année fut mise en place la législation sur les débits de boisson.<br /> Inouï qu'en 1941, dans l'état dans lequel se trouvait le pays, un gouvernement considère que l'important est de s'occuper des herboristes et des bistrots...<br /> <br /> Une autre citation du général à ce propos :<br /> <br /> “La vieillesse est un naufrage. Pour que rien ne nous fût épargné, la vieillesse du maréchal Pétain allait s’identifier avec le naufrage de la France”<br /> <br /> <br />

<br /> « Le territoire n'a pas été livré, il a été pris par l'ennemi »<br /> Car il était mieux préparé et mieux commandé, le responsable n’est certes pas Weygand à qui on a refilé le bébé mais Gamelin et quelques autres.<br /> Les officiers supérieurs de l’époque étaient comme ceux d’aujourd’hui, plus habitués aux salons feutrés, aux petits-fours et au champagne qu’au champ de bataille.<br /> Sur le plan politique, le responsable n’est assurément pas Pétain mais bien plus les Blum, Daladier Reynaud…<br /> <br /> « Un armistice n'est pas une capitulation »<br /> Quand une des deux parties est plus forte que l’autre, c’est elle qui décide des modalités et c’est bien ce qui s’est passé. Ça revient donc à peu près au même.<br /> <br /> Ce que vous nommez “guerre gaullo-française” est en fait l’opposition entre la France libre et les forces armées demeurées à disposition d’un gouvernement sous la botte de l’occupant. Le blanc et<br /> le noir en somme !<br /> Cette période nous a même valu un affrontement naval contre nos fameux “amis étasuniens” (épisode du Jean Bart à Casablanca en novembre 1942, alors que lui était du côté “blanc”) permettant au<br /> général quelques années plus tard une de ses citations lapidaires :<br /> « Le 16 janvier 1946, à l'Assemblée Constituante, le Général de Gaulle répondra à Edouard Herriot lui reprochant alors d'avoir régularisé les citations décernées aux combattants français des<br /> journées de novembre 1942 : “ Il n'est pas question d'arracher des cercueils des pauvres morts et de la poitrine des malheureux mutilés les croix qu'on leur a décernées trois ans plus tôt, pour<br /> avoir combattu suivant les ordres de leurs chefs et bien que ces ordres aient été donnés à tort.” »<br /> Après la condamnation à mort de Pétain par la justice (c’est vrai que sous l’influence d’un entourage plus que douteux il a cautionné quelques horreurs, et pris des décisions extravagantes ce qui a<br /> fait dire à je ne sais plus qui “On ne refait pas les tapisseries d’une maison qui brule”) le général a usé de son droit de grâce à son endroit, après son décès il faisait régulièrement fleurir sa<br /> tombe comme quelques autres présidents qui lui ont succédé. La pratique a cessé à la demande du peuple qui vient de brillamment s’illustrer en commettant un acte de piraterie maritime dans les eaux<br /> internationales au large de Gaza. Et on a donné une suite favorable à cette demande…là est la honte.<br /> <br /> <br />