Différents courriers récents aux membres des Comités de Quartiers invit(ai)ent aux manifestations suivantes :
Fête du Ruisseau les 29 et 30 mai
Fête QuattroPole le 12 juin --> Concours vidéo "Montre-nous ta ville"
Familles en lorraine Familles solidaire 13 juin
Salon de la Solidarité le 11 juin --> Petit déjeuner solidaire du dimanche
Inauguration de la Place de la République le 19 septembre --> "Une carte symbolisant les quartiers de la ville sera tracée sur le sol. Une photo symbolique sera prise avec une vingtaine de membres de chaque Comité se tenant sur cette carte et ayant revêtu un T-shirt de la même couleurs une couleur par quartier). (...) Aussi je vous invite à vous mobiliser et à organiser entre vous "un concours photo". Il s'agira là aussi d'une occasion pour vous de vous interroger sur l'identité de votre quartier."
Fête du Coquelicot le 19 juin --> Après le Printemps des citoyens ? avec la Compagnie Inédit Théâtre et la Compagnie Etosha, et "le premier happening baptisé "Graines de Citoyens" sur le thème "La Citoyenneté, pour vous, c'est quoi ?" pour aller "sur le terrain à la rencontre des habitants qui ne participent pas spontanément".
Inauguration de la Maison de l'Environnement le 19 juin place Saint Louis --> avec la Compagnie Etosha (voir plus haut) qui jouera son spectacle "Néo, Le dernier espoir de Gaïa" : "un jeune garçon vivant avec sa famille reçoit la lettre d'un enfant de 2050 lui faisant le bilan catastrophique de la Terre à cette époque."
Voir Metz Magazine de juin page 10
"L’homo festivus est en train de céder la place au festivus festivus, allusion au sapiens sapiens d’autrefois. Désormais l’humain fête qu’il fête. Cette tautologie marque bien son entrée dans la post-histoire où règne l’autoréférentialité et l’onanisme. Il ne souffre aucune négation de cet état d’euphorie perpétuelle et, ruse sublime de la négativité, il tente d’abolir le hasard des sexes d’un coup de dais nuptial. Satisfaire ses besoins sans limites est son credo, comme le font les enfants. Mais si les enfants partent de cette innocence pour se heurter au principe de réalité et en prendre acte, le festivus festivus lui, fait l’inverse. Il connaît trop bien ce principe et l’ayant pris en horreur, il se donne pour mission la régression volontaire vers un stade infantile. Il se rend coupable de faire de l’innocence sa quête. L’enfant n’est-il pas un être sans histoire ?"
Festivus Festivus Entretiens de Philippe Murray avec Elisabeth Lévy
A l'Atelier, Fabrice Lucchini salue Philippe Muray
Lire Philippe Muray à l’ère de l’hyper festif a quelque chose de réjouissant et de très stimulant