Overblog - la réponse de Frédéric Montagnon

Cher amis,

je vous encourage à écrire à Overblog pour leur dire ce que vous pensez de leurs "procédés d'étouffement inqualifiables", et n'hésitez-pas à copier votre message dans les commentaires du site La vie à Metz.

Sans votre soutien, ce blog est condamné. Si vous ne manifestez pas votre indignation, Overblog va poursuivre sa censure qui nuit gravement à la Vérité.

Courriel de Frédéric Montagnon le 28 juin :

Monsieur, Vous avez reçu plusieurs messages à propos de cet article. Ces messages sont envoyés par l'intermédiaire du formulaire accessible par le lien "signaler un abus" qui se trouve en bas de page. Entre autre, deux personnes ont demandé à ce que les photos sur lesquelles ils apparaissent soient retirées. Comme vous n'avez pas donné suite, nous avons été dans l'obligation de mètre hors ligne votre article pour respecter la loi (droit à l'image). Vous êtes responsable des contenus que vous publiez vis à vis de la loi, et nous sommes soumis à des obligations en tant qu'hebergeur dans un tel cas. Comme vous le comprenez, il ne s'agit pas de censure de notre part. Très cordialement, Frédéric Montagnon

Ma réponse le même jour :

Cher Monsieur, merci de votre réponse personnelle qui est faite dans un esprit de dialogue. Les photos ont été prises lors d'une manifestation publique ! Les 2 messages ne signalent pas quelle est la photo concernée, n'apportent pas la moindre preuve que les personnes qui se plaignent sont bien sur la photo. N'importe qui peut écrire un abus tel qu'il a été formulé, et d'ailleurs il est évident que les 2 messages sont orchestrés (identiques, expédiés en même temps ou presque). Vous agissez donc manifestement de façon abusive et hors du cadre de la loi et de vos conditions générales. Vous avantagez honteusement une partie par rapport à l'autre, selon un a priori scandaleux. Par ailleurs, vous ne me rendez pas mon article, ce qui est un vol ! Je suis victime d'une injustice flagrante de votre part, et d'un préjudice important. Je vous demande solennellement de me rendre mon article et les commentaires (format html par exemple). J'irai le publier chez un autre hébergeur que le votre, sous ma responsabilité. Enfin, un deuxième article mentionnant la censure du premier article a également été censuré. Pour couronner tout ça, vos censures sont cachées et donc malhonnêtes puisque je n'en ai pas été informé. Nous n'avons pu nous en rendre compte immédiatement. J'espère que vous allez revenir sur ces méthodes indignes. Très cordialement, Philippe

Attention : je vous prie de mettre vos commentaires sur La vie à Metz puisque le présent "blog Philippe Metz" est en sursis.

overblog censure, je me casse !!!

Overblog - la réponse de Frédéric Montagnon

J'ai constaté par hasard le 23 juin qu'un de mes articles a disparu du blog ; j'ai donc écrit à mon hébergeur, overblog, le courrier suivant :

"Bonjour, l'article "stérilisés" du 5 juin a disparu de mon blog. Pouvez-vous me dire quelle en est la raison ?"

Réponse de Nicolas d'overblog le 24 juin :

"Philippe Bonjour, il ne s'agit pas d'une disparition ou "censure", mais tout simplement de faire respecter nos conditions générales d'utilisation auxquelles vous avez souscrit. Cet article a fait l'objet d'une notification d'abus justifiée, et a été retiré pour cette raison. Je vous informe que tout nouvel abus de ce type entrainera la suspension du blog. Nicolas - Overblog."

Par ailleurs, j'ai écrit le 23 juin un article expliquant que l'article "stérilisés" du 5 juin a été censuré : cet article a également disparu de mon blog.

C'est impressionnant !

Overblog retire mes articles sans m'en avertir, sous prétexte que je ne respecte pas les conditions générales. C'est un abus de pouvoir manifeste.

Black Bomb A, Jean-Michel Jarre, Les Nuits d'Eole

Différents courriers récents aux membres des Comités de Quartiers invit(ai)ent aux manifestations suivantes :

Fête du Ruisseau les 29 et 30 mai

Fête QuattroPole le 12 juin --> Concours vidéo "Montre-nous ta ville"

Familles en lorraine Familles solidaire 13 juin

Concert sur place le 3 juin

Fête du vélo les 5 et 6 juin

Salon de la Solidarité le 11 juin --> Petit déjeuner solidaire du dimanche 

Inauguration de la Place de la République le 19 septembre --> "Une carte symbolisant les quartiers de la ville sera tracée sur le sol. Une photo symbolique sera prise avec une vingtaine de membres de chaque Comité se tenant sur cette carte et ayant revêtu un T-shirt de la même couleurs une couleur par quartier). (...) Aussi je vous invite à vous mobiliser et à organiser entre vous "un concours photo". Il s'agira là aussi d'une occasion pour vous de vous interroger sur l'identité de votre quartier."

Fête du Coquelicot le 19 juin --> Après le Printemps des citoyens ?  avec la Compagnie Inédit Théâtre et la Compagnie Etosha, et "le premier happening baptisé "Graines de Citoyens" sur le thème "La Citoyenneté, pour vous, c'est quoi ?" pour aller "sur le terrain à la rencontre des habitants qui ne participent pas spontanément".

Inauguration de la Maison de l'Environnement le 19 juin place Saint Louis --> avec la Compagnie Etosha (voir plus haut) qui jouera son spectacle "Néo, Le dernier espoir de Gaïa" : "un jeune garçon vivant avec sa famille reçoit la lettre d'un enfant de 2050 lui faisant le bilan catastrophique de la Terre à cette époque."

Voir Metz Magazine de juin page 10

"L’homo festivus est en train de céder la place au festivus festivus, allusion au sapiens sapiens d’autrefois. Désormais l’humain fête qu’il fête. Cette tautologie marque bien son entrée dans la post-histoire où règne l’autoréférentialité et l’onanisme. Il ne souffre aucune négation de cet état d’euphorie perpétuelle et, ruse sublime de la négativité, il tente d’abolir le hasard des sexes d’un coup de dais nuptial. Satisfaire ses besoins sans limites est son credo, comme le font les enfants. Mais si les enfants partent de cette innocence pour se heurter au principe de réalité et en prendre acte, le festivus festivus lui, fait l’inverse. Il connaît trop bien ce principe et l’ayant pris en horreur, il se donne pour mission la régression volontaire vers un stade infantile. Il se rend coupable de faire de l’innocence sa quête. L’enfant n’est-il pas un être sans histoire ?"

Festivus Festivus Entretiens de Philippe Murray avec Elisabeth Lévy

A l'Atelier, Fabrice Lucchini salue Philippe Muray

Lire Philippe Muray à l’ère de l’hyper festif a quelque chose de réjouissant et de très stimulant