Cette semaine sont apparues les petites boutiques place de la gare.
Les arbres se couvrent de cadeaux.
Noël en novembre
Le marché de Noël a commencé
Cette semaine a été installé le sapin monumental place de la gare.
Il est beau et il sent bon.
Il a été coupé dans les Vosges.
Mais il est là bien tôt.
Dans les grandes surfaces, on a commencé à vendre les cadeaux de Noël.
Les préparatifs matériels vont bon train.
Il ne faudrait pas oublier le sens de la fête de Noël.
Les préparatifs vont bon train
Une centaine de personnes étaient présentes lors de cette première présentation publique des travaux du comité de quartier du centre ville le 20 octobre 2009 au soir.
Installation officielle du Comité de quartier
Comment contacter les membres des comités de quartier ?
Les 3 groupes de travail ont exposé leurs réflexions et propositions.
Monsieur le Maire, des Adjoints au Maire (Richard Lioger, Christiane Pallez, René Darbois, Jacques Tron, Patricia Sallusti, Marielle Olesinski, Selima Saadi, Olivier Payraudeau), un Conseiller délégué (Jean-Louis Lecocq) ont écouté les présentations, certains ont apporté des commentaires et répondu aux questions.
Nous reviendrons plus tard sur ces présentations, que nous avions déjà abordées dans les articles :
Panneaux de chantier
Informations sur les travaux d'aménagement urbain
WC et bancs publics, poubelles, fleurs
Suite à la question d'un habitant, Monsieur le Maire a expliqué qu'il était en train de mettre en place le stationnement résidentiel pour avril 2010.
Il va le faire
Concernant la mendicité agressive dont se plaignent les habitants, Monsieur le Maire a expliqué qu'il ne pouvait interdire la mendicité sur le territoire de la commune, mais a reconnu qu'il y a un réel problème.
Il a souligné que la Préfecture fait, selon lui, son maximum pour gérer une importante filière de demandeurs d'asile organisée en un véritable trafic vers la Moselle, comprenant des passeurs rémunérés.
Suite à l'exposé sur le thème de la propreté, Monsieur le Maire a expliqué que 1 200 procès verbaux (PV) ont été dressés à des propriétaires de sacs poubelles sortis au mauvais moment, ainsi que 120 PV à des propriétaires de chiens qui ne ramassent pas les déjections. 35 euros le PV, avec un effet sensible selon le Maire. Il a dit avoir "conscience que la ville est sale", et a "bien noté" que le groupe de travail devait être accompagné et non pas "travailler seul" comme il s'en est plaint.
35 euros
Le groupe d'animation populaire a présenté son projet de célébrer le printemps 2011, et est en attente de réponses des services municipaux. Suite à une question d'un habitant, le rapporteur a expliqué que son groupe avait exclu l'organisation d'un carnaval qui est "l'expression religieuse du monde chrétien", et donc, selon lui, contradictoire avec l'accueil de communautés. La personne de la salle a alors proposé d'ouvrir ce thème du carnaval à toutes les communautés !
Taxe d'habitation 2009 à Metz :
Commune : + 5,7 %
Commune + communauté de communes : + 11,5 %
Département : + 5,4 %
Moyenne : + 9,1 % de taxe d'habitation
Impôts locaux : + 9 % de taxes foncières
Impôts locaux
On se prend à regretter la gestion financière du précédent maire, Jean-Marie Rausch, avec qui on évitait la gay pride dans les rues piétonnes, ainsi que la prétentieuse nuit blanche. Certes, il était inflexible sur le stationnement résidentiel, mais, à ce jour, Dominique Gros n'a toujours rien fait !
Ni Dieu, ni maître
Nuit blanche décevante
2 %
Appel à manifester le 17 décembre
Sur cette affichette, un militant homo, avec son drapeau arc-en-ciel, se voit refuser par le Maire Dominique Gros l'accès de la gay pride au centre piétonnier : "Mirabelle, saint Nicolas OK, gay pride pas encore assez traditionnelle."
A l'arrière plan, saint Nicolas tient Miss Mirabelle par la hanche.
Les militants homos s'en prennent à Dominique Gros de façon malhonnête puisqu'il a autorisé la traversée du centre piétonnier de Metz par la dernière gay pride. Ce qu'ils veulent, c'est que Dominique Gros saborde, aux frais de la Municipalité, le travail de Jean-Marie Rausch, qui avait très intelligemment interdit la gay pride dans les rue piétonnes, et gagné en première instance contre l'association Couleurs Gaies qui avait assigné la Mairie.
C'est la Halde qui aide Couleurs Gaies en Appel et crie à la discrimination puisque, si Miss Mirabelle et saint Nicolas traversent Metz, il est normal, pour ces associations, que la gay pride en ait également le droit.
Je cite l'éditorial du magazine Famille chrétienne du 12 septembre 2009 : "Alors, cette pauvre civilisation sans Dieu ni maître dans laquelle l’Europe est en train de sombrer ne sait pas quoi inventer pour venir à bout de l’amour conjugal et familial – cet « œil de la conscience » qui la taraude malgré tout. Il y a l’avortement banalisé, le divorce facile, l’amour libre et le « copinage » prônés partout, l’homosexualité brandie comme un modèle, le rêve de l’enfant fabriqué, formaté, comme une poupée de supermarché". Retraite des mères Encore une fois, c'est la Halde de Louis Schweizer, ancien conseiller de Laurent Fabius, et ancien Président de Renault, qui, sous couvert de lutte contre les discriminations, s'en prend à la famille traditionnelle, pour imposer, en se servant du rouleau compresseur de la justice, avec les moyens de l'Etat, un nouveau modèle de société.
Pacs célébrés à "Metz branchée"
Ces chiffres qui dérangent
Fête de la saint Nicolas
Couleurs gaies a perdu en justice
Affichage amusant de riverains excédés :
Tapin Rempart Saint Thiébault
Rondes de nuit de la police municipale
Caméras efficaces
Tourisme sexuel à Metz
Beaucoup de gens qui déambulent, mais pas grand chose à voir.
650 000 euros, ça fait cher.
Plusieurs personnes nous ont rapporté que le personnel municipal menace de se mettre en grève car il voit toutes ces dépenses et n'arrive pas à obtenir 30 euros d'augmentation par mois.
Un exemple de colonne installée pour la célèbre "nuit blanche" dont il paraît qu'on parle jusqu'à la gare de l'Est (oui, oui, la nouvelle a atteint Paris) ! C'est moche et ça coûte bonbon : Impôts locaux : + 9 % de taxes foncières
Comme disent les habitants : "c'est n'importe quoi !"